Qui sommes-nous?

L’association L’association Liratouva conduit des actions de promotion de la littérature orale et écrite, d’initiation à des formes d’expression artistique  et de sensibilisation à la nature. Nous sommes engagé·es dans l’accès à la culture et aux arts pour que les liens se tissent et se resserrent et que jaillissent des rapprochements audacieux et nécessaires.

Notre équipe

  • Mélina Gernelle, administratrice, coordinatrice de projets et animatrice du Club Nature
  • Julie Le Feunteun, médiatrice du livre, conteuse, formatrice et coordinatrice de projets
  • Roxane Caillon, chargée de projets et « chercheuse d’or »
  • Marine Ginod, médiatrice du livre, conteuse et illustratrice
  • Plusieurs musiciens et musiciennes: Aude Speller, Céline Bird, Florian Bellec
  • Trois administratrices: Blandine Ramain, Fanny Rousseau, Myriam Troadec
  • De nombreux bénévoles lecteurs et lectrices, petites mains & gros bras:  Emmanuel, Janick, Marie-Anne, Béatrice, Chantal, Manon, Marie, Nelly, Maïté, Sophie, Daniel, Sylvie, Luce, Marion, Nanou…

Notre démarche

Liratouva est avant tout un mot magique et dérisoire, un sésame même pas dur à invoquer et pfffuiit !

Derrière les lianes sauvages, le portillon de l’imaginaire s’ouvre sans grincer, sans forcer. Un monde d’histoires, à côté de soi, émerge, on s’enivre sans retenue de récits insolites.

Disons que la compagnie Liratouva ne joue pas les sensations apocalyptiques ou les expériences déroutantes.

Nous, lectrices, artistes, poètes, plasticiens, musiciennes explorons la littérature orale et écrite comme on part en balade, un panier sous le bras et de bonnes chaussures. Un panier pour récolter les trésors de la nature pour mieux se baigner dans les imaginaires fabuleusement ordinaires et résolument singuliers. De bonnes chaussures parce que les histoires servent à tenir debout. Et à marcher. Marcher debout c’est mieux. Et ça ne fait même pas mal. On a le regard qui porte loin et les sens exaltés.

Liratouva compose des itinéraires sur les sentiers de la nature autant que sur les chemins des mondes merveilleux. On marche comme ça confiants et ébaubis. Au fur et à mesure d’une virée musicale et contée, les liens se sont tissés et même resserrés. Sans même s’être cogné, les marcheurs et marcheuses d’un jour voient jaillir des rapprochements nécessaires et audacieux.